France
Un nom sur l’attaque qui a conduit à la mort d’un soldat français ce mardi 4 avril : le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans.
Dans la soirée du 6 avril, le groupe né de la fusion des différents groupes djihadistes actif du Sahel – Ansar Eddine, Al-Mourabitoune et Al-Qaida au Maghreb islamique (AQMI) – a revendiqué l’attaque qui s’est déroulée dans la région de Hombouri, dans la zone frontalière burkinabé-malienne.
En visite dans une base militaire française de Gao, le ministre français des Affaires étrangères, Jean Marc Ayrault a confirmé ce vendredi que Iyad Ag Ghali, chef de cette coalition de groupes djihadistes avait revendiqué l’attaque.
Une bonne dizaine à présent que le groupe se targue d’avoir menée. Avec la mort de ce soldat français, le bilan des soldats français morts au Mali dans les cadres des opérations Serval en 2013 puis Barkhane (débutée en août 2014) passe à 19 morts.
L’ONU a déjà signifié que sa mission dans le nord du Mali est la plus coûteuse en vies humaines au monde.
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